Le Grand Prix des États-Unis occupe une place particulière dans l’histoire de la Formule 1. Organisé pour la première fois en 1959 sur le circuit de Sebring, en Floride, cet événement a connu plusieurs itérations et emplacements à travers le pays, dont Riverside, Watkins Glen et Indianapolis, avant de trouver son lieu actuel sur le Circuit des Amériques (COTA) à Austin, Texas, en 2012. La course est devenue un rendez-vous incontournable pour les fans de F1 aux États-Unis, attirant un public enthousiaste et un large panel de parieurs.
Le circuit des Amériques, avec ses 5,513 km et ses 20 virages complexes, propose un défi unique pour les pilotes et les équipes. Avec ses montées abruptes, ses courbes rapides et ses longues lignes droites, il est idéal pour les dépassements spectaculaires. Ce mélange de vitesse et de technique en fait l’un des circuits les plus appréciés des pilotes et des spectateurs, créant un spectacle imprévisible chaque année.
En termes de fonctionnement pour le championnat du monde, le Grand Prix des États-Unis suit le barème de points standard utilisé par la F1 pour attribuer des points aux dix premiers pilotes à franchir la ligne d’arrivée. Le vainqueur se voit attribuer 25 points, le deuxième 18 points, et le troisième 15 points. Le reste des points est distribué comme suit : 12 points pour la 4e place, 10 points pour la 5e, 8 pour la 6e, 6 pour la 7e, 4 pour la 8e, 2 pour la 9e, et enfin 1 point pour la 10e place. De plus, un point supplémentaire est accordé au pilote qui réalise le meilleur tour, à condition qu’il finisse dans le top 10.
Ces points sont essentiels pour déterminer le classement général des pilotes et des constructeurs à la fin de la saison. Avec un calendrier chargé de courses et des concurrents de plus en plus performants, chaque point compte et peut faire la différence entre un titre de champion ou une deuxième place.